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mai 2009
Le 19 avril 2009, Abdelaziz Bouteflika prêtait serment pour un troisième mandat présidentiel. Élu avec 90,24% des suffrages exprimés, il a bénéficié dun score de dictature bananière. Tout avait été mis en oeuvre : intimidation des votants, propagation du mythe de lhomme providentiel en la personne de Bouteflika et difficultés de réunion opposées aux autres candidats. Tout étant faussé, les grands partis de lopposition ont préféré ne pas présenter de candidats. Dans une parodie de démocratie, des inconnus ont servi de faire valoir à Bouteflika. Il y a beaucoup de faux-semblants en Algérie. Citons les plus criants :
Nous craignons une manipulation annonçant une répression sanglante. De manière étrange, le pouvoir a laissé des missionnaires protestants américains convertir plus de 50 000 Kabyles. Dans le même temps, comme nous avons vu, il durcit la législation contre les conversions. Alger cherche-t-elle ainsi à dresser les factions les unes contre les autres ? |
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