à la Maison Blanche |
janvier 2010
Chuck Hagel, ancien sénateur républicain, a été nommé par Barack Obama co-président du Intelligence Advisory Board (Bureau du conseil du Renseignement) de la présidence. Ce bureau a pour fonction
dassurer la liaison entre les différentes agences
de renseignement américaines. Dans le passé, Hagel
a provoqué à plusieurs reprises la colère
des sionistes en attaquant ce que lon appelle Outre-atlantique
le « lobby juif ». Il a aussi défendu
les positions des Arabes. A ce titre, les sionistes le qualifient
d« anti-israélien ». En août 2008, il a été jusquà se moquer ouvertement des déclarations du Vice-président Dick Cheney en public. Quelques semaines plus tard, il demandait un calendrier de retrait des forces américaines dIrak. En 2006, dénonçant la politique va-ten-guerre de George Bush, il avait prophétisé que « la sécurité des États-Unis est plus importante que le parti républicain ou le parti démocrate eux-mêmes. Sen servir à des fins électorales mènera à une défaite et à un désastre politique ». En 2007, encore, il a contesté lenvoi de 20 000 soldats américains supplémentaires en Irak avant de joindre sa voix à celle des démocrates pour demander le retrait des troupes avant mars 2008. Le choix de ce républicain atypique, pour gérer les services de renseignement, est une nouvelle pièce apportée à la machine mise en oeuvre par Obama pour repenser la politique moyen-orientale des États-Unis et obtenir un règlement du conflit israélo-Palestinien. Il faut sattendre à des attaques de plus en plus virulentes des réseaux sionistes contre Obama. John Kennedy, lui aussi, avait défié Israël. |
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