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mars 2014
Si cela savère vrai, nous sommes à la veille dune nouvelle crise financière qui risque dengendrer une crise économique dun niveau jamais atteint. On sait les États-Unis entreposant lor de plusieurs pays à Fort Knox, ces derniers cherchant à mettre à labri leurs réserves, comme lAllemagne fédérale qui craignait une offensive soviétique du temps de la guerre froide. Or, démenti par aucun des États concernés, Washington ne rendrait cet or réclamé quau compte-gouttes. Doù la rumeur insistante que lor ne serait plus dans les caves de Fort Knox mais aurait été vendu pour combler les déficits des États-Unis. Dominique Strauss-Kahn, alors directeur du FMI, aurait été informé de la chose, ce qui expliquerait la promptitude avec laquelle il a été emprisonné et forcé à quitter sa position à la tête du Fonds. Vrai ou faux ? En tout état de chose, nous savons pour notre part que, suscitant la colère de Washington, il envisageait, avec la Chine, de créer une nouvelle monnaie mondiale de réserve en remplacement du dollar (1). En outre, un autre incident donne à penser que sa relation, forcée ou non, avec une femme de chambre dhôtel était un piège, voire une exploitation de ses mauvaises habitudes pour se débarrasser de lui. En effet, 17 jours après Strauss-Kahn, le 31 mai 2011, Mahmoud Abdel Salam Omar, banquier égyptien ami de DSK, était lui aussi arrêté par la police de New York. Il était accusé davoir agressé sexuellement, la veille, une soubrette du Palace Pierre, situé dans Manhattan. Tout cela confirme nos soupçons quant à une manipulation pour neutraliser les financiers devenus dangereux aux yeux des dirigeants américains. Ou, autre hypothèse, au mois de mai à New York, la pratique de la finance pousserait à des comportements particuliers avec les femmes de chambre. Il nous semble plus raisonnable de supposer les agents des services américains manquant dimagination et prêts à tout quand ils estiment défendre les « intérêts supérieurs de lÉtat ». Mais revenons à lor. Ce quaurait fait lÉtat américain en délivrant des certificats de dépôts à des pays, les rendant sans valeur en revendant lor à leur profit, des marchands dor lont fait avec leurs clients. Cette pratique a donné naissance à ce quon appelle « lor papier ». Simple comme bonjour ! Vous souhaitez acheter du précieux métal jaune mais vous craignez de lentreposer chez vous pour des raisons de sécurité. Le marchand dor vous offre de conserver votre achat dans ses coffres. En échange, il vous donne un magnifique certificat. Par ce moyen, il a, comme on dit, « dématérialisé lor » en créant de lor papier. Bien, mais qui lempêche alors de vendre des certificats pour une quantité dor dépassant ce quil détient dans ses coffres ? En théorie lÉtat, voire la morale. Et pourtant, comme le faisait remarquer Anne-Bénédicte Hoche dans Le Parisien du 17 février, « les quantités dor papier en circulation sont bien supérieures aux stocks physiques effectivement disponibles ». Que les détenteurs dor papier saffolent et réclament leur dû en or métal, ils en ont le droit, et ce serait la crise. Cette nouvelle activité sur lor papier explique au passage la chute des cours de lor. En effet, les acheteurs à des fins dépargne ne faisant pas la différence entre lor papier et lor métal, loffre en papier dépasse largement la demande et fait baisser les cours. La fièvre de lor est en train de se développer. Elle risque dêtre mortelle pour des sociétés entières.
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