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D’après la Debka (1), un site d’information, les combattants de Daech (2) à Mossoul ne seraient pas 300 ou 400 mais 3000 à 4000. De plus, sur les fronts irakien et syrien, contrairement aux informations occidentales, Daech ne serait pas en situation de faiblesse mais dominerait tactiquement les forces qui le combattent. Pour la Debka, Daech a surmonté la force de frappe irako-américaine en abandonnant la stratégie de défense des centres urbains. Puis il a divisé ses unités en petit groupes de 10 à 15 hommes chargés de commettre des attaques suicides. Les forces irakiennes sans un quertier
ouest Il faut savoir la Debka une structure israélienne basée à Jérusalem. Elle est liée aux services de renseignements de l’État hébreu et au camp des faucons sur le plan politique. Avec habileté, ses rédacteurs s’attachent à affirmer des vérités pour, en même temps, passer des analyses qui relèvent de la désinformation. Une technique habituelle pour les services. Reste à détecter la part de crédibilité de leurs écrits. En particulier quand la Debka affirme Daech ayant repris l’initiative stratégique, on a du mal à le croire. Après tout, à utiliser ses combattants comme des munitions en les faisant sauter avec des ceintures explosives, on finit par ne plus avoir de troupes. Clairement, Israël cherche à exagérer le danger de Deach pour susciter une paranoïa dans les pays occidentaux. Ceci pour nous associer à sa sale guerre contre les Palestiniens. Il ne faut pas sous-estimer Daech. Il serait tout aussi dangereux de le surestimer.
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