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avril 2009
« Il y a dabord eu, voilà quelques semaines, la tentative dattentat perpétrée par le conducteur arabe dune pelleteuse à Jérusalem (...) Il sagissait du troisième attentat de ce type », lit-on dans « Actualité juive » du 7 avril 2009.
Parlant de ces attaques réalisées par des individus isolés, lhebdomadaire poursuit : « Ce sont les actes de terrorisme les plus difficiles à déjouer, car leurs auteurs ne parlent généralement pas de leurs projets, rendant le recueil du renseignement particulièrement malaisé. Ils nentretiennent que des relations très vagues avec les organisations terroristes, nont reçu aucune formation militaire véritable et utilisent le plus souvent les armes se trouvant à leur portée (hache, véhicule...) » Ces attaques sont par conséquent indétectables avant le début de lexécution. Ce qui pousse enfin les Israéliens et lauteur de larticle à sinterroger. « Quest-ce qui pousse ces individus, généralement jeunes, à se lancer dans une aussi funeste aventure ? » Lauteur de ces mots continue de tourner autour du pot pendant une moitié de larticle pour finalement montrer son incompréhension du phénomène. « On ignore encore, dit-il, si la recrudescence de ces actes est due à un concours de circonstances ou si elle a des causes plus profondes ». Ce genre de propos révèle lincapacité des Israéliens à réduire le terrorisme ou les attaques conduites contre eux. Refusant de se remettre en question, ils ne voient pas leur politique, la cause première du désespoir des Palestiniens. Par conséquent de ces attaques aveugles guidées par une colère incommensurable. |
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