sur Claude Isaac Khayat et Éric Yann Robic |
décembre 2014
Le 16 septembre 2011 dans la nuit, au volant
dun 4X4 fraîchement acheté, Éric Yann
Robic renversait une jeune israélienne de 25 ans, Lee
Zeitouni. A ses côtés se tient son compagnon de
beuverie, Claude Isaac Khayat. Ils sortent dune boîte
de nuit. Ivres, sans doute drogués, ils descendent de
lautomobile pour inspecter la carrosserie puis remontent Il faut y ajouter un détail : Robic et Khayat sont juifs, qualité trop souvent oubliée puisquon nous les présente uniquement comme Français. Que le lecteur ne se méprenne pas ! Si nous mettons en évidence leur appartenance ethnico-religieuse, ce nest pas par antipathie à légard de leur communauté mais seulement en raison de limportance de ce point dans laventure de ces deux hommes. En effet, en septembre 2011, ils nétaient pas à Tel-Aviv par hasard. Ils fuyaient la France pour échapper à la justice de notre pays dans une affaire descroquerie en bande organisée. Mais pourquoi le choix dIsraël ? Parce quen tant que juifs, ils ne risquent pas lextradition, lÉtat hébreu sétant fait une règle de nextrader aucun juif vers un autre pays quelque soit limportance du délit, ou du crime, qui lui est reproché. Un comble pour un État qui assassine ses ennemis passés ou actuels à travers la planète sans le moindre état dâme. Mais passons. Il faut bien ladmettre, si Robic et Khayat navaient pas tué la petite Zeitouni, jamais la justice française naurait remis la main sur eux. Aussi a-t-on du mal à réprimer un sourire quand la justice israélienne, à son tour, reproche à la France de ne pas lui livrer deux de ses ressortissants, Robic et Khayat, pour leur crime commis en Israël. Car, après tout, bonne fille, le 27 novembre, la France ouvrait le procès des deux accusés sur son sol. Dun côté il y a la douleur dune famille israélienne qui a perdu son enfant dans des circonstances atroces. De lautre une belle leçon donnée aux Israéliens. Pour répondre à laffiche, si la justice ne doit pas avoir de frontière, Israël doit changer sa loi en matière dextradition. Une grandeur dâme dont on attend toujours la réciprocité de la part dIsraël. Car il faut le savoir, ce pays est devenu la « Côte des Barbaresques » (1) de lEurope et plus particulièrement de la France, cette dernière accueillant la plus forte communauté juive du continent. Non seulement des individus poursuivis en France sy sont réfugiés, comme Arcady Gaydamak (2), mais lÉtat hébreu sert de base opérationnelle à de nombreux voyous juifs qui pratiquent des escroqueries ou se livrent à des commerces illicites au détriment du reste du monde, principalement de notre pays. Parmi ces trafics : lescroquerie à la TVA (3), le blanchiment dargent non déclaré chez nous (4), lescroquerie au virement bancaire (5), voire le trafic dorganes humains pour approvisionner certaines cliniques israéliennes.
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