Georges Soros serait-il
le roi des manipulateurs de
« l’écologie profitable »

septembre 2015

Au cours des derniers mois, George Soros a acheté 553 200 parts de la compagnie « Arch Coal » pour
188 000 $ et plus d’un million de parts pour un montant de 2 254 000 $ de la compagnie « Peabody Energy ». Ces deux sociétés américaines ont en commun de travailler dans le domaine de l’exploitation du charbon.

Surprise ! Depuis plusieurs années, Soros milite contre l’extraction et l’utilisation des énergies fossiles, principalement du charbon qu’il juge l’un des produits les plus polluants.

A cette fin, il a été jusqu’à verser 100 millions de dollars en dix ans à « the Climate Policy Initiative » (Initiative politique du climat), une ONG écologique basée à San Francisco. Il a aussi donné un milliard de dollars en 2009 pour soutenir les énergies vertes.

Mieux, en 2008, il a soutenu l’élection de Barak Obama qui avait promis de fermer les industries liées au charbon.

Sterling Burnett, un chercheur et directeur de Heartland Institute a conclu : « George Soros a dépensé des millions de dollars au cours des ans pour pousser le prix du charbon à la baisse. S’il achète suffisamment d’actions pour pouvoir contrôler cette industrie du charbon, fermer les exploitations et laisser le charbon dans la terre, nous pourrons dire qu’il y croyait et que ses investissements étaient destinés à arrêter le changement climatique et sauver l’environnement ».

Mais Burnett n’est pas convaincu. Il ajoute : « Mais je soupçonne ses initiatives avoir pour but de faire chuter la valeur de ces actions en bourse, pour acheter autant de parts qu’il le peut. Plus tard, quand les cours remonteront, il pourra vendre ses parts et faire un profit énorme ». Nous ne sommes pas loin de penser cela.

Note

(*) Heartland Institute est un « think tank » américain basé à Chicago.

Centre de Recherches sur le terrorisme depuis le 11 septembre 2001
 www.recherches-sur-le-terrorisme.com

 

 
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