septembre 2006
Fin août, sur les écrans, Nasrullah, chef du Hezbollah, se prétendait surpris par l'ampleur de la réaction d'Israël au Liban. " Le sachant, je n'aurais pas fait enlever de soldats, " osait-il. Faux naïf, il oubliait ses déclarations récentes. Quand il prétendait avoir lancé son opération, pour anticiper sur une offensive des Israéliens.
L'autre côté, ne vaut pas mieux. On entend qu'Israël aurait détruit la moitié du Liban, pour répondre aux roquettes du Hezbollah. Pourtant, l'armée juive, la première, le 12 juillet, a fait donner son artillerie et son aviation.
En Europe, on n'a guère plus de principes. Londres, le 13 août, annonçait la découverte d'un complot terroriste. Puis les preuves, une à une, perdaient en vigueur. A se demander si Blair, provoquant la panique, n'apportait pas son soutien aux fauteurs de guerre israéliens.
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