Comment les mondialistes vulgarisent-ils leurs théories ?

mai 2011

Le 29 mars 2011, se déroulait une vente aux enchères sous le label « Save the Earth » (sauver la Terre) au Rockefeller Centre de New York. Pourquoi en parler ?

Cette vente, faite au profit d’organisations de protection de l’environnement a bénéficié d’une large publicité Outre-atlantique en mobilisant les vedettes de la haute couture et du show-business. Elle était mise sur pied en faveur d’organisations comme la NRDC (Natural Resources Defense Council), Conservation International et le Central Park Conservancy, connu pour financer à 85% l’entretien de Central Park à New York.

À première vue, on ne peut voir là qu’une initiative sympathique destinée à susciter un esprit d’économie des ressources naturelles chez des Américains connus pour leur tendance au gaspillage.

Un correspondant sur place nous dresse un tableau tout différent. L’un des co-fondateurs de NRDC, John E. Bryson, appartient en effet au CFR. Comme Robert E. Denham, Shirley Hufstedler et Robert O. Blake, un ancien ambassadeur américain, qui font partie des responsables de la fondation. NDRC ne compte pas moins de 1,2 million d’adhérents.

Chez Conservation International, on retrouve la même confusion des genres. Ainsi, James Wolfensohn (CFR et Bilderberg), par ailleurs ancien secrétaire au Trésor américain, a été membre du directoire. On retrouve aussi dans les structures dirigeantes un ancien de la banque Lehman, Roger Altman (CFR et Bilderberg), Richard Haass (CFR et Bilderberg), Lewis Coleman (CFR) et William B. Harrison Jr (CFR).

À la lecture de ces noms, on comprend l’étalage des bonnes intentions destiné à populariser l’idée d’une gouvernance mondiale, prélude à un gouvernement mondial, pour sauver la Terre. Ainsi, jour après jour, récupérant les prétextes les plus nobles, les mondialistes travaillent-ils à préparer l’opinion à accepter leur projet.

Centre de Recherches sur le terrorisme depuis le 11 septembre 2001
 www.recherches-sur-le-terrorisme.com

 

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