dun proche de Dominique Strauss-Kahn |
novembre 2014
Thierry Leynes navait pourtant rien dun désespéré. Associé avec Dominique Strauss Kahn dans un nouveau fonds de placement des plus prometteurs, Global Investment. En sassociant à DSK, en octobre 2013, il avait rebaptisé son groupe LSK, pour Leynes Strauss-Kahn. Daprès la presse, il sest suicidé en se jetant du 23ème étage du building de Tel-Aviv où il possédait un appartement. Le « Haaretz », journal israélien qui ne sen laisse généralement pas conter a écrit : « Lassocié de Strauss Kahn est mort dans un apparent suicide à Tel-Aviv ». Le doute est donc bien là. On a en effet du mal à croire dans un suicide. Même si Leynes avait, suite à un litige, été condamné le 3 octobre dernier à payer 2 millions deuros par la justice luxembourgeoise. Quel financier, jouissant de plus de lassurance de nêtre jamais extradé dIsraël en tant que juif (1), pourrait se donner la mort pour de telles broutilles ! On ne peut sempêcher de penser à une liquidation physique. Mais pourquoi ? Les deux partenaires rentraient dun voyage en Chine où ils prospectaient pour obtenir des fonds. Or, les Chinois et les Russes cherchent à remplacer le dollar par une autre monnaie pour les transactions internationales. Plus significatif encore, nous avions signalé des rumeurs sur des mystifications concernant les stocks dor de la banque fédérale américaine (2) suite à des ventes illicites. Or, DSK aurait été au courant en tant que directeur du FMI. Enfin, à cette position, il sétait fait attentif aux suggestions chinoises favorables à la naissance dune nouvelle monnaie de réserve. Voilà pour ce que nous savons. Or, tous les économistes en sont informés, les États-Unis vivent du dollar devenu monnaie internationale. Leurs emprunts sont libellés dans cette monnaie et remboursés dans un dollar dévalué. En clair, intérêts inclus, ils rendent moins quils nont emprunté. Remettre la position internationale du dollar en question, ou informer sur léventuelle disparition de stocks dor de la « Federal Bank », remettrait cette gentille manipulation en question. Voilà pourquoi, déjà au lendemain du scandale sexuel du 14 mai 2011, au Sofitel de New York, nous soupçonnions un guet-apens pour piéger Strauss-Kahn en jouant sur ses habitudes. Aussi, aujourdhui encore, nous avons des doutes sur la mort de Thierry Leynes. Ce nest pas « bien » de faire part dun soupçon sans preuve. Mais les circonstances sont tellement opaques et lenjeu tellement énorme quil nous semble que Strauss-Kahn devrait faire attention.
|
www.recherches-sur-le-terrorisme.com |