Les hommes de Barak Obama |
décembre 2008
Il est encore tôt pour savoir quelle politique va mener le nouveau Président des États-Unis à partir du 20 janvier 2009, jour de son investiture. Nous laissons de côté la politique fiction sur les réformes intérieures, en particulier sociales, qu'il pourrait conduire. Ce chapitre, rappelons-le, dépend d'abord de la situation économique du pays. Le reste du monde se voit bien plus concerné par la politique étrangère de Washington. Certes, Obama apparaît moins va-t-en guerre que son prédécesseur. Mais, comme le remarquait John Tuck, un ancien conseiller du Président Ronald Reagan, " Le pauvre homme a les mains liées. Je ne connais pas ses projets, mais sa marge de manoeuvre est très faible ". Le poids des mondialistes et des pro-israéliens dans l'entourage d'Obama confirme le constat de Tuck. Sur
69 personnes que nous avons pu identifier dans l'entourage politique
immédiat de Barak Obama, dont de futurs membres de son
gouvernement, 24 au moins sont membres d'organisations mondialistes
ou, comme Rahm Emanuel, très proches d'Israël. Nous
dressons la liste non-exhaustive de ces dernières.
Reste à savoir combien de temps encore les mondialistes pourront abuser le peuple américain, l'instrumentalisant pour détruire les nations de tous les pays, y compris les États-Unis dont ils se servent. (Pour information, le CFR (Council on Foreign Relations) a été créé, comme la Trilatérale, par la famille Rockefeller. David Rockfeller siège aussi au Groupe Bilderberg. L'Institut Aspen, dont le siège est à Washington, a créé une branche à Lyon). |
Le
2 décembre,
« Associated Press » annonçait une
« très probable » attaque biologique
contre les États-Unis avant 2013. « Linformation
» provenait dun rapport de la « Commission
pour la prévention contre les armes de destruction massives
et le terrorisme », un centre de recherches inconnu
de tous, dirigé par deux anciens sénateurs américains. Que lon ne sy trompe pas : nous ne doutons pas que des organisations terroristes soient intéressées par lacquisition darmes biologiques. Si elles y parviennent, les préjudices en vies humaines dépasseront de loin ceux dune attaque comme celle qui a ensanglanté Bombay du 26 au 29 novembre 2008. Certes, nous estimons nécessaire, pour un pays, de se protéger contre déventuelles attaques. Mais cest le moment et la manière choisis pour évoquer le sujet, qui nous gênent car ils portent lempreinte de la manipulation dopinion. La méthode nest pas nouvelle. Une officine quasi inconnue concocte un dossier, le plus souvent, sur commande. Un homme politique important en fait la publicité. Puis, se servant de lémotion produite par le dossier sur le public, il exerce une pression sur la, ou les, personnes en charge de lÉtat. Quand lhomme politique en question est le vice-Président des États-Unis, rien de plus facile. La preuve quil sagit dune opération destinée à manipuler lopinion et le futur Président des États-Unis ? Comme nous lavons vu, les auteurs du rapport fixent un délai, 2013, avant lequel doit se passer lattaque. Or, ils lavouent eux mêmes : « Les groupes terroristes manquent encore de connaissances scientifiques et techniques pour fabriquer des armes biologiques ». Dès lors, comment peut-on évoquer une date? Nous ne sommes plus dans la prospective mais dans la prophétie. Il faut dire, choisissant le chiffre 2013, les « experts » auteurs du rapport passeraient presque pour un cénacle de cabalistes. Barak Obama devrait nommer Daniel Kurtzer comme chargé de mission pour la Maison Blanche au Moyen-Orient. Autrement dit, pour gérer le dossier israélo-palestinien. Ceux qui ont cru en Obama, une fois de plus, vont déchanter. Kurtzer, par ses origines et son parcours ne se situe pas à équidistance entre les Arabes et les Israéliens. Eduqué au « Yeshiva College » de New York, une institution qui combine études profanes et religieuses hébraïques, il se sent proche de lEtat hébreu au point davoir été un temps membre du conseil dadministration de la ligue israélienne de baseball. Dautre part, le CRIF, dans ses dépêches électroniques du 3 décembre 2008, annonçait la candidature de Stanley Fisher, actuel gouverneur de la Banque dIsraël, pour occuper le poste de président de la Banque fédérale à New York. |
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