Rupert Murdoch dévoilé
à la face du public

octobre 2011

L’article « Murdoch, la presse sous contrôle » décrit l’itinéraire de Rupert Murdoch . Né à Melbourne le 11 mars 1931, ce petit fils d’un pasteur protestant immigré en Australie a épousé en premières noces Elysabeth Joy Green, issue d’une riche famille juive orthodoxe. Avec l’aide de cette dernière, il a bâti un empire de presse colossal, favorable à l’idéologie mondialiste et à Israël.

Classé 13ème homme le plus influent du monde sur la liste Forbe, il est implanté principalement aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Italie et s’étend jusqu’en Asie. Actif dans la presse écrite, la télévision par satellite et Internet, s’il n’en est pas directement l’ordonnateur, il laisse ses dizaines de milliers de collaborateurs user de méthodes frauduleuses pour orienter l’opinion.

Au Centre de Recherches sur le Terrorisme, nous avons publié un article en 2010, qui mettait en vedette le « Sunday Times », titre aujourd’hui dénoncé pour ses agissements. L’hebdomadaire britannique avait publié une information annonçant le déploiement de sous-marins israéliens porteurs d’armes nucléaires au large des côtes iraniennes.

L’affaire avait failli provoquer une crise internationale, après la reprise de l’ « info » par le journal « Haaretz ». Mais elle était fabriquée par le « Sunday Times ».

Cette fois-ci, il s’agit d’affaires d’apparence privées. En fait, en matière d’attaques des personnalités publiques, on sait, parfois, ces actions entrant dans des stratégies de déstabilisation.
David Cameron, le Premier ministre britannique, est monté au créneau. Le 12 juillet, à la BBC, il a dénoncé les liens de Murdoch avec la pègre. Tout semblait permis aux « agents » du magna de la presse. En 2000, à six reprises, un homme s’est fait passer pour Cameron, alors Chancelier de l’Échiquier, afin d’obtenir des informations sur ses comptes bancaires.

Un ancien acteur, Tom Ford, avait pour travail d’usurper l’identité des personnes sur lesquelles les journalistes du « Sunday Times » enquêtaient. Leurs articles ne craignaient pas de taper où cela fait mal. Ainsi, sans une once d’humanité, ils avaient révélé que l’un des bambins de Brown était atteint de mucoviscidose. Tout cela pour affaiblir un homme, jugé trop tiède à l’endroit de la cause israélienne.

Centre de Recherches sur le terrorisme depuis le 11 septembre 2001
 www.recherches-sur-le-terrorisme.com

 

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