L’AFFAIRE L’ORÉAL
ÉTAIT BIEN
UNE OPA JUIVE

novembre 2015

Nous sommes tombés dans « Actualité Juive » du 15 octobre, à la page 38, sur un article prouvant une fois de plus l’exactitude de nos enquêtes. Nous en citons l’essentiel.

« À l’occasion de la rentrée, Christian Schiaretti est venu présenter son action à la tête du TNP (NDLR de Villeurbanne) (...) Viscéralement attaché aux valeurs républicaines, il défend la culture de qualité pour tous. Cette année, le TNP propose une programmation variée où émerge notamment « Bettencourt Boulevard », une pièce de Michel Vinaver « véritable histoire de la France ». C’est la saga Bettencourt et l’Oréal qui commence à l’extrême droite et finit dirigée par de jeunes juifs... »

Très tôt, nous avons su une opération mise en route par certains stratèges de la communauté juive afin de prendre le contrôle de l’Oréal (1). Il y avait deux raisons à cela : d’une part ces gens voulaient se venger du passé, quand pendant la guerre, Eugène Schueller, le fondateur de l’Oréal, flirtait avec l’Allemagne. D’autre part, ils convoitaient un fleuron de l’industrie française.

Dans cette opération de captation de l’Oréal, sur le plan tactique, tout se réduit à l’action d’un homme : Jean-Pierre Meyers. Petit fils de rabbin, il tombe « par hasard », bien sûr, sur la fille Bettencourt, Françoise, au bas des pistes de Mégève. Elle est repliée sur elle-même, mal dans sa peau. Il la réconforte, lui redonne confiance en elle et la séduit. Pour lui victoire suprême, elle se convertit au judaïsme jusqu’à devenir une idolâtre des écritures de cette religion.

Après moult joutes devant les tribunaux, en décembre 2010, à la suite de tractations secrètes et après s’être servi de la fille contre la mère, Meyers finissait par obtenir la gestion du paquet d’actions l’Oréal de la famille Bettencourt. Jusqu’ici, ces actions étaient aux mains de la mère de Françoise, Liliane. Du même coup, c’est le pouvoir sur l’entreprise qu’il arrachait.

Schiaretti est venu en personne présenter la pièce, « Bettencourt boulevard, véritable histoire de la France » au « Centre Culturel et Social Juif » de Lyon, mieux connu sous le nom d’Espace Hillel.

Le ton triomphant d’ « Actualité Juive » célébrant le passage d’une entreprise française des mains de gens supposés d’extrême droite à « de jeunes juifs » est choquant. Il fait en effet de la France un espace où il suffirait à des juifs de déclarer d’autres Français d’extrême droite pour, qu’à coups d’intrigues, ils s’estiment le droit de s’emparer de leurs biens. En somme, une forme assez proche du processus de dépossession des Palestiniens de leurs terres... ou de celle des nazis pour s’approprier les biens juifs pendant la dernière guerre. Troublant...

Le plus choquant reste néanmoins dans le silence de toute une société, quand elle laisse en son sein une faction croître en puissance aux dépens du reste de la nation. Car si les Juifs de France sont des Français comme les autres, ils ne doivent pas être « plus » que leurs autres compatriotes.

Il est du devoir de l’État de faire respecter le droit. Il sait le faire, et avec raison, quand des propos de haine sont tenus à l’égard des Juifs. Aujourd’hui, c’est à lui de se saisir d’une dérive inverse aux apparences de complot. L’affaire est grave.


* Lire «
Qui veut la peau de l’Oréal » et « Les bas-fonds de l’affaire l’Oréal-Bettencourt »

 

 Christian schiaretti, reçu au centre Hillel

Fac-similé de l’article commenté. Cet extrait est tiré d’ « Actualité Juive », un hebdomadaire s’adressant aux juifs et Juifs de France publié à 17 500 exemplaires. « Actualité Juive » n’a rien d’un bulletin confidentiel.

Centre de Recherches sur le terrorisme depuis le 11 septembre 2001
 www.recherches-sur-le-terrorisme.com

 

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