le campus du Tertre pris en otage, |
le campus du Tertre pris en otageDépendant de luniversité
de Nantes, le campus du Tertre, un château, semblait promis
à une belle rentrée pendant lété
2017. Tout était refait à neuf et rendu plus fonctionnel.
Pourtant, neuf mois plus tard, pris en otage par des factieux
gauchistes, le Tertre est agité de convulsions à
prétentions révolutionnaires... Nantes Révoltée...des militants de l'ultra-gaucheTout a commencé à la fin du mois de novembre 2017, quand des militants de lultra gauche se sont emparés du château et du bâtiment dit Censive pour y installer des clandestins sans-papiers affirmant que certains dentre eux étaient mineurs. Ces agitateurs se donnaient le nom de « Nantes Révoltée ». Dortoir de l'université de Nantes
Immigration, Mai 68 et l'affaire du Tarnac au menuEn février, les gentils défenseurs de migrants organisaient même une semaine de débats sur limmigration, les 50 ans de Mai 68 et laffaire de Tarnac. Le 7 mars, les CRS procédaient à une nouvelle expulsion des occupants. En réponse, en centre ville, les bureaux de luniversité étaient bariolés à la peinture orange. Les agitateurs forts de l'indécision des autoritésÉtendant leurs revendications aux problèmes estudiantins, les agitateurs disent aussi sopposer aux nouvelles lois Macron concernant la poursuite des études. Enfin, ils cherchent à faire bouger la population. Jusque-là en vain, leurs manoeuvres ne parvenant pas à mobiliser plus de 200 éléments. Ils ne sont forts que de lindécision des pouvoirs publics à leur égard. |
Tarnac : la dérision comme arme de substitutionLe 13 mars, débutait le procès des prévenus de Tarnac. Pour la police, plus exactement pour les services, Julien Coupat et son amie Yildune Levy ont posé un crochet sur la caténaire afin de saboter la ligne de TGV, dans la nuit du 7 au 8 novembre 2008, à Dhuisy, en Seine-et-Marne. Les deux accusés
nient. Ils nont pas de chance, selon un procès verbal,
ils étaient suivis par une vingtaine dagents. Pire,
leur voiture a stationné pendant vingt minutes à
quelques pas du lieu du sabotage. Selon les deux suspects, ils
faisaient lamour Quand même, franchir illégalement une frontière comme celle des États-Unis juste pour se promener, cela surprend des gens simples comme nous. Mieux, tomber sur des amis qui vous emmènent dans des réunions aux allures de conjuration, voilà qui interpelle les plus naïfs. Même si, pour nos tourtereaux, il sagit déchanges de vues à coloration syndicale. Cela sajoute à la constitution dune communauté de type soixante-huitard dans une ferme de Tarnac (Corrèze) et à la production dune littérature aux relents gauchistes appelant à des changements radicaux de la société, y compris par la violence. En fait, comprenons-nous, Levy et Coupat sont des malchanceux : ils se retrouvent aux moments où il faut pas, là où il ne faut pas. Un peu léger ! Dun point de vue judiciaire, on aurait donc dû sattendre à une condamnation. Cétait sans compter sur les dérapages de la maréchaussée barbouzière. De toute évidence, le rapport de cette dernière a été falsifié. On en vient même à douter que les agents nommés aient été présents sur le terrain. Coup de chance, le téléphone de lun dentre eux a quand même été « borné » dans la zone pendant la filature. Fonctionnaire un jour, fonctionnaire toujours, nos policiers ont aussi une vie privée. Cela il faut le comprendre. Mais la fatigue de la surveillance aidant, on a vite fait dabandonner une traque nocturne en ayant fait le minimum pour rentrer plus tôt à la maison. Et puis, les ressources de lélectronique et de la surveillance derrière un écran donnent à certains de nos pandores un quasi sentiment dubiquité qui les dispense des servitudes du terrain. Problème, devant un prétoire, lubiquité, ça ne passe pas ! Alors, le procès senlise et, profitant de leur avantage, les accusés jouent la dérision. Résultat, inhabituel pour une justice dhabitude sourcilleuse en matière « doutrages à magistrats », la juge et le procureur de la République sont tournés en ridicule sans quils nosent répliquer. Du jamais vu ! À se demander si, laffaire Tarnac faisant jurisprudence, on ne va pas pouvoir dorénavant se moquer ouvertement des présidents de tribunaux au cours des procès. Comme on le voit avec le procès Tarnac, la capacité à se moquer du monde caractérise les gauchistes. Supplétifs des forces stalinistes, ne sont-ils pas les chantres des lendemains heureux avant de vous mettre au goulag ? Finalement, les gens de Tarnac ont été relaxés. Dans une société où lextrême gauche a migré dans toutes les institutions de la République, y compris à la justice, on imaginait mal le tribunal condamnant Levy et Coupat au nom de lévidence. |
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