DES CLINTON |
Du sexe, du sang et de largent... On croirait une série télévisée. La vie privée des grands de ce monde nest pas notre tasse de thé, néanmoins quand elle a un tel impact sur la politique et, de plus, est ignorée par la presse à grand tirage, nous sous sentons obligés de remédier à cet étrange silence. Comme nous le rappelle Pierre de Villemarest dans son ouvrage « Faits et chroniques interdits au public », Bill Clinton est un pur produit des cercles mondialistes. Déjà à luniversité de Georgetown (Washington), il avait eu pour professeur un certain Carroll Quigley, le chroniqueur du CFR (Council on Foreign Affairs) dont il nest plus nécessaire dévoquer les activités en faveur de la création dun gouvernement mondial. Sans doute ce « copinage » avec les milieux dominants a-t-il très vite donné au jeune Clinton le sentiment dappartenir à une élite dhommes, mais aussi de femmes, auxquels tout est permis. Ainsi, sa vie sentimentale commence-t-elle détrange manière. Étudiant, il avait noué une tendre relation avec Susann Coleman. Puis il fit la connaissance dHillary Rodham, sa future femme. On retrouva la jeune Coleman la tête éclatée par une balle explosive alors quelle était arrivée à son huitième mois de grossesse. Ce nest pas la seule mort suspecte dans le sillage de Clinton. Étant arrivé à la Maison Blanche avec Hillary, son avocat, Vincent W. Foster découvrit des points obscurs dans les investissements immobiliers du couple. Il sapprêtait à démissionner et à faire des révélations à la presse quand, le 20 juillet 1993, on le retrouva mort, une balle dans la tête et un revolver en main, dans un parking de la banlieue de Washington. Il fallut étrangement un mois pour que le FBI soit autorisé à examiner les vêtements et larme de Foster. Selon Pierre de Villemarest, « une bonne douzaine de meurtres jalonnent la vie des Clinton ». Bill Clinton navait pas envie de jouer les héros pour autant. Fervent opposant à la guerre au Vietnam, il a intrigué avec succès pendant toute lannée 1969 pour échapper au service militaire. Son engagement pacifiste lui a même valu dêtre invité à titre personnel à Moscou. Ce voyage a bien sûr disparu de sa biographie officielle. Quand on linterroge à ce propos, il dit sêtre rendu comme touriste à Moscou. Il y a quand même des endroits plus attirants pour un bon vivant ! On comprend mieux quel type de relation Clinton entretenait avec lURSS quand on apprend quArmand Hammer a financé sa campagne présidentielle. Or Hammer, certes un industriel américain qui dirigeait lOccidental Petroleum Company, nen était pas moins très proche du régime soviétique. Au Kremlin, il jouissait même dun bureau contigu de celui du secrétaire général du Parti communiste. Cela peut paraître incroyable mais est lié à la nécessité de garder des canaux de communication entre adversaires, ce qui peut néanmoins conduire à des doubles jeux. Il convient du reste de savoir Hammer ayant financé les écologistes allemands, qui servaient si bien la cause soviétique en attaquant le nucléaire occidental... Mais jamais celui de Moscou. Hammer a aussi financé la carrière politique dAl Gore, candidat aux présidentielles en 2000 mais surtout militant de la cause écologiste. Cependant, le sang est toujours au rendez-vous pour Clinton. Quelques mois après son installation à la Maison Blanche, éclata en 1993 laffaire du siège de la secte religieuse des Davidiens, à Wako, dans le Texas. Des fous furieux qui ne seront neutralisés quaprès 51 jours de siège par la police. Or, après lattaque des forces de lordre, surprise, parmi les morts on retrouva trois anciens gardes du corps de Clinton qui, en 1992, protégeaient et organisaient pour lui des soirées libertines, au passage un peu « gay » pour qui appréciait. Les trois hommes, pour se mettre en valeur, sépanchaient sur ces soirées. Cette attirance pour les courbes du corps allait coûter cher à Clinton. Entre 1995 et 1997, il a eu plusieurs relations intimes avec une jeune stagiaire auprès de la Maison Blanche : Monica Lewinsky. Sans entrer dans les détails, on sait le scandale que fit cette affaire quand Clinton se parjura devant la justice en niant sa liaison avec la jeune femme. Or, cette intrigue, comme celle qui ruina la carrière de Dominique Strauss-Kahn, a toutes les caractéristiques dun piège tendu pour neutraliser un homme devenu trop sûr de sa puissance. Comme si, dans le cas de Strauss-Kahn, ou dans celui de Clinton, on les avait aidés à monter vers les sommets en connaissant cette faille de leur comportement, pour exercer des pressions ou les ramener à la case départ, sils oubliaient qui les avaient fait rois. Remarquons au passage que Monica a reçu le soutien du rabbin de sa famille. Comment la très impérieuse Hillary prenait-elle la vie galante de son mari ? Très bien semble-t-il. Et pour cause : elle aussi a un penchant pour les dames. On comprend leur mariage un véritable pacte denrichissement et dambition dans lequel ils sattachent tous les deux à préserver les apparences. En décembre 1993, par exemple, quand des informations sur les habitudes sexuelles de Bill filtraient dans la presse, citant entre autres une certaine Gennifer Flowers. On vit le couple présidentiel safficher main dans la main sur le mode jouvenceaux en pamoison. Entre les usages de Bill et les préférences dHillary, les Clinton réussirent quand même à avoir une petite fille, Chelsea, née le 27 février 1980. Si la mère nest pas sortie de la piste, à son tour la fille fait aussi parler delle. En 2010, elle a épousé Marc Mezvinsky. Lélu oeuvre dans les banques dinvestissement. Il a travaillé plusieurs années chez Goldman Sachs. Il est aussi le fils dEdward Mezvinsky, un ancien membre du Congrès qui a été inculpé pour fraude financière en mars 2001 pour un délit portant sur dix millions de dollars. Il a été incarcéré plusieurs années et libéré en avril 2008. Il doit toujours 9,4 millions de dollars à ses victimes. Le fils, Marc, nen est pas moins multi-millionnaire. Ce nest pas la seule étrangeté de ce mariage. Chelsea est méthodiste. Marc, de religion juive. Ils se sont mariés le 31 juillet 2010, un samedi, au cours dune cérémonie « célébrée dans le respect des deux religions » par un pasteur, le révérend William Shilady, et un rabbin, James Ponet. Or, dune part, aucun rabbin juif
reconnu par ses pairs ne pratique ce genre de concélébration.
Dautre part, aucun mariage juif ne peut se passer le samedi,
jour du shabbat. |
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