DU MONDIALISME |
de « réchauffement climatique » se donnent la main pour faire de largent
Fin juillet 2016, la fondation des frères Rockefeller annonçait son intention dinvestir pour un montant de 10 millions de dollars dans les énergies renouvelables en Afrique. Suivez bien ! Nous navons pas dit « donner » 10 millions de dollars, mais « investir ». Ces 10 millions de dollars vont être investis auprès de la plateforme « Lekela Power » qui exécute et possède des projets de production dénergies renouvelables, le plus souvent solaires, en Afrique. Mais qui est Lekela Power ? Cest une société créée par « Actis » et « Mainstream Renewable Power ». Actis est un fonds dinvestissement créé en Grande-Bretagne travaillant sur les opportunités économiques dans les pays en voie de développement. Il dispose de 6 milliards de fonds. Mainstream Renewable Power dit de lui-même : « Nous finançons et bâtissons des stations solaires et éoliennes à grande échelle. Nous vendons ensuite les actions à des organisations cherchant à sassurer des revenus à long terme ». En clair, avec Lekela Power, on est dans le business pur et dur. Mais pourquoi cet intérêt pour les pays en voie de développement, plus particulièrement ceux dAfrique, manifesté par Lekela Power et les Rockfeller ? La fondation des frères Rockefeller dit vouloir abandonner petit à petit ses intérêts dans le pétrole pour se tourner du côté des énergies renouvelables. Doù son investissement chez Lekela Power. Du reste, un autre fonds de ces richissimes héritiers, le « Fonds de la Famille Rockefeller », et non plus celui dit des « frères », annonçait le 23 mars dernier la vente de la totalité de ses actions ExxonMobil. Les représentants de ce fonds allaient jusquà estimer quil ny a pas « de justification saine » à lextraction du pétrole quand les gouvernements travaillent à réduire les émissions de carbone. Devant tant daltruisme, on se sent pris de vertige. Et pourtant ! Dabord, la fondation des frères Rockefeller fait beaucoup de bruit pour peu de chose : ses investissements dans les énergies fossiles ne représentent que 6% de son portefeuille. Ensuite, comme tout le monde laura remarqué, le pétrole nest plus ce quil était. Il nest pas fini mais le prix du baril a chuté et il est temps de trouver de nouvelles sources de profits. Enfin, et cest là, avons-nous découvert, la raison principale de la manoeuvre : « la marchandisation » du carbone à travers la taxe carbone. Nous avons déjà évoqué ce sujet, mais il est important de revenir dessus tant cette « marchandisation » tend à devenir le pivot de léconomie mondiale (1). En quelques mots : une taxe mondiale sur les émissions de gaz carbonique est en train dêtre levée. Toute entité (être humain, entreprise, pays), productrice de gaz carbonique de par ses activités, disposera du droit de relâcher dans latmosphère un quota de ce gaz. Si elle dépasse ce quota, elle paiera la taxe carbone. Si elle est en dessous, elle disposera dun « crédit carbone » quelle pourra revendre.
Les investissements des Rockfeller sur le terrain des énergies renouvelables vont bien dans ce sens... Mais sans oublier le profit. En effet, comme dit un peu plus haut, les crédits carbone seront revendus à qui le veut : des entreprises polluantes, voire des pays ou des institutions financières qui les revendront à leur tour. Les banques de Wall Street ont déjà décidé de créer une bourse (stock exchange) à Chicago qui, transformant les « crédits carbone » en produits financiers, permettra de spéculer sur leur valeur à la hausse ou à la baisse (4). Et cest là que point lintérêt dun continent comme lAfrique. Dune part, la « signature carbone », cest-à-dire la production de gaz carbonique par habitant y est basse en raison de la faiblesse de lindustrialisation et du nombre réduit de véhicules automobiles. Y investir permet de créer des liens avec les dirigeants afin de récupérer sous forme de constructions dinfrastructures les crédits carbone qui seront versés aux États. Dautre part, et cest le plus important, la production dénergie renouvelable, permettra elle aussi de générer des crédits carbone que des entreprises comme Lekela Power revendront. Cest donc un business très lucratif qui sannonce puisque doublement profitable. de tous les temps Nous arrivons au point dorgue
de cette belle affaire. Quand des arguments aussi puissants que les intérêts financiers sont en jeu, on sexplique mieux linsistance avec laquelle la presse à grand tirage et les hommes politiques ressassent la rengaine du réchauffement climatique. Réel ou faux, lié ou non aux activités humaines, nous nen savons rien tant les chiffres et les rapports se contredisent. En revanche, nous avons les preuves pour affirmer quun lobby de profiteurs, sous prétexte décologie, monte laffaire financière la plus juteuse de tous les temps. Or, sachez-le, largent ne viendra pas de nulle part. Les taxes carbones seront répercutées sur le prix des produits consommés ou/et sur la feuille dimpôts. Nous en serons victimes à deux titres, comme consommateur et comme contribuable. Nous le serons aussi en tant que citoyens, parce que le renforcement du mondialisme passe par une limitation de nos libertés. Pour bien faire comprendre à nos lecteurs limportance de ce que nous affirmons, il convient de se rappeler : - John
D. Rockefeller, le fondateur
de la dynastie, avait créé la société
pétrolière Standard Oil qui exerçait son
négoce en situation monopolistique aux États-Unis.
Il détenait la première fortune du pays. Sommes nous des « complotistes » ou sont-ils des comploteurs ?
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Figurent dans le matériel publié par les auteurs du piratage des listes dONG qui soutiennent laction dOpen Society. Des preuves aussi que Soros est un acteur prioritaire des « Révolutions oranges » qui ont éclaté en Europe de lEst au cours des vingt dernières années. Mais, après tout, ce nest quun secret de polichinelle ! Les soupçons, concernant les origines du piratage, se portent sur la Russie, très hostile aux méthodes et à la politique de Soros. Depuis novembre 2015, il est interdit aux citoyens et aux ONG russes daccepter de largent de Soros et de ses structures. Dans ce conflit, nous observons dun côté les courants mondialistes à loeuvre avec les effets pervers que nous connaissons sur limmigration de masse et la déstabilisation des États. De lautre, une politique de plus en plus, non pas « nationaliste », mais « ultra-nationaliste » de Moscou. Si certaines « Révolutions oranges », comme en Géorgie, avaient leurs raisons dêtre, dautre fois par les méthodes, en instrumentalisant une minorité de la population, comme en Serbie, elles ont ressemblées à des opérations de guerre menées de létranger. Si dans nos pays nous devrions travailler à nous proté-ger des menées du mondialisme, convenons aussi quà léchelle mondiale il sinscrit dans un équilibre de for-ces avec ce qui ressemble à un retour à la guerre froide. |
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